Nogi Wakaba est une héroïne, 4-Koma n°3 : Doi Tamako

Bonsoir.

Je parlerai plus de Tama sur le prochain chapitre (qui va arriver bientôt). Sinon, c’est juste pour vous faire patienter avant le prochain épisode de Saiki, qui arrivera en milieu voire fin de semaine.


Du coup, vu que je n’ai pas grand-chose à dire sur ce chapitre, voici la composition du botamochi :

Le botamochi est une pâtisserie japonaise composée de riz gluant et de pâte de haricots rouges (aussi appelé pâte azuki), très proche de l’ohagi (la recette étant peu ou prou la même), mais qui se diffère par la texture de la pâte de haricot rouge.

Son nom provient du mot “botan” signifiant “pivoine” et de “mochi”, le gâteau de riz japonais bien connu. Pourquoi pivoine ? Car c’est une pâtisserie considérée comme sacrée et mangée durant les semaines “higan” du printemps et de l’automne au Japon, période à laquelle les pivoines éclosent. Ou c’est juste parce que la pâte de haricot rouge a une couleur pivoine.

Pour faire du botamochi, rien de plus simple. Il vous faut du riz gluant, du riz classique (avec un ratio de 7:3 pour le riz gluant… Basiquement, le double de riz gluant, ça va être plus simple) et de l’anko (encore un autre nom pour la pâte de haricot rouge).
Mettez le riz à tremper pendant une bonne heure dans de l’eau (ou 6h, selon la légende… Ou 3…), puis une fois qu’il est cuit, faites-en des boules, puis enveloppez votre pâte de riz d’une épaisse couche d’anko. Et voilà.

Attention, cette recette est simplifiée, si vous souhaitez vraiment faire du botamochi, je vous conseille de regarder sur internet.
Attention, les recettes trouvables sur internet sont toutes différentes, car le botamochi, étant un plat classique, il faut croire que chaque région/ville/famille dispose d’une recette un peu différente. Comme la sauce soja.

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